Ce n’est pas parce qu’on est confiÂnĂ©s qu’on n’a pas le droit de voyaÂger. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire dĂ©couÂvrir le monde, les lieux que j’aimerais connaĂ®tre un jour et que d’autres ont eu la chance de parÂcouÂrir. Aujourd’hui, nous retourÂnons en Chine, dans l’ancien Turkestan.
Lecce — ColÂlecÂtion de timbres #2
Ce n’est pas parce qu’on est confiÂnĂ©s qu’on n’a pas le droit de voyaÂger. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire dĂ©couÂvrir le monde, les lieux que j’aiÂmeÂrais connaĂ®tre un jour et que d’autres ont eu la chance de parÂcouÂrir. Aujourd’Âhui, nous parÂtons Ă Lecce, dans le sud de l’Italie.
Shaxi — 沙溪 — ColÂlecÂtion de timbres #1
Ce n’est pas parce qu’on est confiÂnĂ©s qu’on n’a pas le droit de voyaÂger. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire dĂ©couÂvrir le monde, les lieux que j’aimerais connaĂ®tre un jour et que d’autres ont eu la chance de parÂcouÂrir. Aujourd’hui, nous parÂtons Ă Shaxi, en Chine.
StavÂkirke, l’éÂglise en bois debout (zone norvĂ©gienne)
Quel nom Ă©trange… Église en bois debout… En bois debout… Le nom de ces Ă©glises qu’on ne trouve plus guère qu’en NorÂvège vient de la manière dont le bois est traÂvaillĂ©. En rĂ©aÂliÂtĂ©, l’exÂpresÂsion est “bois de bout”, par oppoÂsiÂtion à “bois de fil”.
Eilean LeòdÂhais agus Na HeaÂradh (zone hĂ©bridienne)
Ce sont des Ă®les, au nord-ouest de l’Écosse, les contreÂforts de l’Atlantique, lĂ©gèÂreÂment dĂ©colÂlĂ©es de la grande Ă®le, et elles portent des noms gaĂ©Âliques Ă©cosÂsais ou anglais ; BenÂbeÂcuÂla, BerÂneÂray, South Uist, BarÂra, Saint-Kilda.
ConverÂsaÂtion intime avec mon couÂloir aĂ©rien
Ce n’est un secret pour perÂsonne ; j’adore les avions. Mais qui dit avions, dit ausÂsi aĂ©roÂport, car mĂŞme s’ils resÂtent souÂvent peu de temps au sol, ils ont tout de mĂŞme besoin de se poser de temps en temps, un peu comme les albatros.
BoreaaÂliÂnen vyöÂhyke (zone borĂ©ale)
Le borĂ©al est entrĂ© dans ma vie par pluÂsieurs angles difÂfĂ©Ârents. Le preÂmier aura Ă©tĂ© la dĂ©couÂverte de l’auteur danois Jørn Riel, aujourd’hui âgĂ© de 88 ans et qui a Ă©crit la sĂ©rie des raconÂtars arcÂtiques qui ont Ă©maillĂ© mes nuits d’étudiants de beaux souÂveÂnirs et d’histoires humaines fasÂciÂnantes, que je n’ai touÂjours pas fini de lire…
Prendre le temps et garÂder la lumière
Au coeur d’un hiver qui resÂsemble Ă un automne, la nuit la plus longue est dĂ©jĂ pasÂsĂ©e par lĂ , un peu venÂteuse, un peu pluÂvieuse par interÂmitÂtence ; rien de très sĂ©rieux. La lumière du soleil illuÂmiÂnait hier matin le pignon de la maiÂson de la voiÂsine en caresÂsant le crĂ©Âpi. Ce matin, il n’est plus quesÂtion de ça, la nature semble avoir envie de faire grise mine. Mais il n’empĂŞche que le temps s’est arrĂŞÂtĂ©, tout est silenÂcieux, non pas triste, mais au contraire lumiÂneux et porÂteur de joie.
Requiem pour KatriÂna : lorsque la digue se rompt
C’est un mot qui n’a pas besoin d’être traÂduit pour ĂŞtre comÂpris… Levee… En anglais, c’est une digue, mĂŞme si dans les traÂducÂtions en franÂçais de la sĂ©rie des Dave RobiÂcheaux Ă©crits par James Lee Burke, le mot levee est traÂduit par levĂ©e… Ce qui convient assez bien. En tout cas, moi, j’adhère…
Le lazaÂret de PoveÂglia, l’île mauÂdite de Venise
On ne dĂ©nombre plus les hisÂtoires de fanÂtĂ´mes dans les palais de la SĂ©rĂ©ÂnisÂsime, comme celle de la Ca’ Dario, que Monet a peint en son temps, ou celle du CasiÂno degli SpiÂriÂti que l’on voit appaÂraĂ®tre dans l’album d’Hugo Pratt, Fable de Venise. Celle du lazaÂret de PoveÂglia est d’une toute autre dimension.