Ma déambulation dans la petite ville d’Ubud se poursuit, pour cette première journée dans la touffeur et la fatigue, sous un soleil qui hésite parfois à se frayer un passage au travers d’une épaisse couche de nuages. Je dois d’abord passer par le marché pour m’acheter un sarong (mot d’origine malaise qui signifie “étui”), une pièce de tissu qu’il suffit d’attacher sur elle-même par un nœud autour de la taille.
