Plutôt que des carnets de voyages, une photo, quelques mots, une ambiance, un moment privilégié… Comme par hasard, dès qu’on s’éloigne un peu de la foule massée autour des singes, il n’y a plus personne. Il n’y a plus rien, c’est comme si le monde avait ses frontières aux limites de ce qui est écrit dans les guides touristiques.
