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Dernières nouvelles du mondeUbud stories #13 : Les subak de Jatiluwih
Après la petite déconfiture de la veille, je décide de prendre un peu le temps, de me lever tard et de faire quelques longueurs dans la piscine, histoire de délasser mon esprit, pour de bon.
Ubud stories #12 : Bali sous un mauvais jour, la campagne et les rizières
Quatrième jour sur l’île des Dieux. J’ai passé une mauvaise nuit, j’aurais dû me méfier. Une sciatique lancinante m’a empêché de dormir une bonne partie de la nuit et je n’ai réussi à faire passer la douleur qu’à coup de paracétamol. Au réveil, sur le muret devant la chambre, juste à côté de la petite maison des esprits en pierre volcanique, une offrande a été déposée par des mains délicates, accompagnée d’un bâtonnet d’encens qui diffuse dans l’air saturé d’humidité une douce fragrance entêtante.
Ubud stories #11 : Gunung Kawi
J’ai passé une bonne partie de ma journée à Tampaksiring, au Pura Tirta Empul, à profiter de cette belle journée sans pluie, sous un soleil de plomb que les sources ont réussi à rafraîchir un peu. Je saute à nouveau dans mon taxi pour rouler à peine plus de cinq minutes vers le temple de Gunung Kawi (le mont aux poètes).
Ubud stories #10 : Pura Tirta Empul à Tampaksiring
Il faut environ une demi-heure pour relier Goa Gajah à la ville de Tampaksiring où se trouve le lieu le plus emblématique et certainement le plus connu de Bali. Nous sommes ici dans le village de Manukaya où l’on trouve ce lieu étrange et envoûtant que sont les sources sacrées du Pura Tirta Empul (littéralement, temple des eaux sacrées).
Ubud stories #9 : Goa Gajah, la cave de l’éléphant
Le sommeil, le manque cruel de sommeil avec la fatigue du voyage encore présente. Voilà comment commence cette nouvelle journée. J’ai les cuisses endolories, le front rougi par le soleil et le nez roussi. Mais cela n’entache pas ma bonne humeur, bien au contraire. Ces petites contrariétés font elles aussi partie du voyage, elles vous rappellent que vous avez un corps et que vous ne pouvez faire autrement que de le traîner derrière vous comme un sac à patates.
Ubud stories #8 : Puri Saren Agung, le palais d’Ubud
Puri Saren Arung. Un autre nom de la belle langue indonésienne pour désigner ce qu’à peu près on désigne en anglais sous le nom de “Ubud Palace”. C’est un endroit qui donne sur la rue principale (Jalan Raya Ubud) et on peut réellement dire que c’est le cœur d’une ville dont on a du mal à voir les contours.
Ubud stories #7 : Pura Taman Kemuda Saraswati — Des monstres, des lotus et le Barong
Ma déambulation dans la petite ville d’Ubud se poursuit, pour cette première journée dans la touffeur et la fatigue, sous un soleil qui hésite parfois à se frayer un passage au travers d’une épaisse couche de nuages. Je dois d’abord passer par le marché pour m’acheter un sarong (mot d’origine malaise qui signifie “étui”), une pièce de tissu qu’il suffit d’attacher sur elle-même par un nœud autour de la taille.
Kachgar — قەشقەر — Collection de timbres #3
Ce n’est pas parce qu’on est confinés qu’on n’a pas le droit de voyager. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire découvrir le monde, les lieux que j’aimerais connaître un jour et que d’autres ont eu la chance de parcourir. Aujourd’hui, nous retournons en Chine, dans l’ancien Turkestan.
Lecce — Collection de timbres #2
Ce n’est pas parce qu’on est confinés qu’on n’a pas le droit de voyager. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire découvrir le monde, les lieux que j’aimerais connaître un jour et que d’autres ont eu la chance de parcourir. Aujourd’hui, nous partons à Lecce, dans le sud de l’Italie.
Shaxi — 沙溪 — Collection de timbres #1
Ce n’est pas parce qu’on est confinés qu’on n’a pas le droit de voyager. Une fois par jour, je vais essayer de vous faire découvrir le monde, les lieux que j’aimerais connaître un jour et que d’autres ont eu la chance de parcourir. Aujourd’hui, nous partons à Shaxi, en Chine.
Le plus long de tous les étés. Journal du confinement IV
Ma vie est toujours un savant équilibre entre ce dont je me satisfais dans un pur exercice de dénuement et la recherche de tout ce dont je pourrais avoir envie et dont je cherche à satisfaire le manque.
Une semaine sur terre. Journal du confinement III
Nuit difficile, des rêves qui n’en finissent pas, des rêves qui pourrissent mes matins et qui jouent avec mes peurs. Je suis un grand trouillard, j’ai des phobies, et je me demande si la plus grande n’est pas celle des profondeurs océaniques. Comme je le dis à ceux qui me disent que pour un fils de Breton, c’est quand-même pas de bol, je réponds que dans ma famille, personne n’est marin-pêcheur, ni même marin tout court, et nous nageons tous comme des enclumes.
Une semaine sur terre. Journal du confinement II
Hey mais en fait ça passe super vite !! Sans rire, ma matinée d’hier a filé à une vitesse incroyable… Même pas eu le temps de soupirer d’ennui ou de me donner l’illusion que la journée était trop longue…
Ubud stories #6 : réveil sur l’Île des dieux
Il a plu des trombes cette nuit. Il a plu à 21h45… Je dormais depuis 19h30, écrasé sur le lit, la porte-fenêtre ouverte, au vu de tout le monde ; pas grand-chose à faire… J’ai toujours un peu de mal à me remettre des voyages long courrier, ça me flingue à un point dont on n’a pas idée.
Une semaine sur terre. Journal du confinement I
Pendant toute la durée de cette période exceptionnelle, une petite chronique de trois jours en temps de guerre, bien au chaud chez moi.