Je ne dors pas alors voi­là, je livre ça, décou­vert tout à l’heure sur Canal +, Mark Ron­son, un Anglais inso­lem­ment beau et talen­tueux qui se teint les che­veux en blanc, auteur d’A­my Wine­house, qui nous sort un groupe très clas­sieux, The Busi­ness Intl, de son cha­peau, avec un Andrew Wyatt superbe, rayon­nant, frai­che­ment débar­qué de Miike Snow, un D’An­ge­lo sur­puis­sant, une Rose Eli­nor Dou­gall pim­pante et super­be­ment pro­vo­cante et sur­tout Boy George un peu bouf­fi mais avec une voix impec­cable, trente ans après… L’al­bum s’ap­pelle Record Col­lec­tion et vient de sortir.

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Pop tein­tée élec­tro savam­ment aro­ma­ti­sée au 80’s, c’est une explo­sion de sons aci­du­lés inat­ten­dus qui secouent et res­tent dans la tête. A essayer les fenêtres ouvertes, Glass Moun­tain Trust entre autres et sur­tout Some­bo­dy to love me avec Wyatt et sa voix cris­tal­line, et le Boy tout en sub­ti­li­té. Ce Mark Ron­son s’im­pose comme un incon­tour­nable d’une pop rétro fas­ci­nante… (enten­dez-vous les steel-drums ?)

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