Rares sont les pho­to­graphes qui s’ex­priment comme des poètes, dans un jeu de lumières et de ténèbres, dans une métrique simple et une dou­ceur presque lugubre. Il y a de l’é­cole de Düs­sel­dorf dans ces cli­chés d’une sobrié­té enva­his­sante, une âme per­sis­tante, dans un écrin luxueux. Kim Høl­ter­mand.

Via Hip­po­lyte Bayard

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