Je caresse la mappemonde
Jusqu’à ce que sous mes longs doigts
Naissent des montagnes, des bois
Et je me mouille en l’eau profonde
Des fleuves, et je fonce avec eux
Vers l’océan vertigineux
Débordant de partout mes yeux
Dans la fougue d’un autre monde
Jules Supervielle
Tags de cet article: poésie
c’est terrible mais on dirait presque les paroles d’une chanson de Calogero, ou un truc comme ça.
ps: magnifique carte. Je vais voir dans mon gros bouquin si elle y est
C’est la mappemonde Guillaume Delisle (1720)