Pline le jeune

Pour moi, j’es­time heu­reux ceux à qui les dieux ont accor­dé le don, ou de faire des choses dignes d’êtres écrites, ou d’en écrire des dignes d’êtres lues ; et plus heu­reux encore ceux qu’ils ont favo­ri­sés de ce double avantage.

Pline le Jeune, Lettres

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