Le per­ro­quet sué­dois cesse de voler. Il a vécu deux ans à un rythme rela­ti­ve­ment calme.
Il a com­men­cé à voler à une période de ma vie où la pas­sion du tra­vail s’é­tant éva­nouie, j’a­vais le pou­voir de me poser et d’é­crire de belles choses, j’a­vais le temps et la dis­po­ni­bi­li­té d’es­prit pour me per­mettre le songe de l’é­cri­ture douce. Et puis pen­dant ces deux der­nières années, une cas­sure dans ma vie. Et un nou­veau tra­vail, beau­coup plus pas­sion­nant, de nou­veaux objec­tifs, la pers­pec­tive de me lan­cer dans de nou­veaux défis, beau­coup plus gra­ti­fiants… Mais les bonnes choses ont une fin.

C’est tou­jours une fêlure au cœur que de lais­ser autant de choses der­rière soi. Tant pis. Je suis fier de ce que j’ai accom­pli, je l’ai aimé ce blog, j’ai aimé écrire ici, mais à pré­sent, je vais poser mes bagages ailleurs. La per­ro­quet sué­dois est mort, vive Elec­tro­lo­tus
Le temps pour moi de récu­pé­rer tout ce qui se trouve ici pour l’ar­chi­ver et pou­voir le remettre à dis­po­si­tion plus tard, la fer­me­ture défi­ni­tive aura lieu aux alen­tours du 3 sep­tembre.

D’autre part, j’ai reçu il y a peu une invi­ta­tion pour gérer un forum sur la lit­té­ra­ture, ce qui vous l’i­ma­gi­nez me ravit (à tous les sens du terme) : une nou­velle occu­pa­tion qui risque de me prendre un peu de temps et dont je vous tien­drai infor­mé dès lors qu’il sera ouvert.

Bon vent !