Semaine éprouvante qui mérite de se terminer dans le repos, dans la béatitude sacrée d’une bonne grosse semaine de congés. Enfin. Une petite passerelle avant l’été, un répit d’une courte seconde.
L’occasion de se détendre, de se vautrer dans la beauté de la nudité la plus simple, sans penser, sans parler, juste être là et regarder le monde bouger autour de soi. Attendre, regarder les cerisiers en fleur.
Ce sera aussi l’occasion pour moi de travailler à d’autres choses, lire, étudier, classer mes notes, mes livres, des tonnes et des tonnes de feuilles éparpillées.
Et dormir enfin.