Tags de cet article: anatomie, dessin, Italie, RenaissanceIl est bien dans le caractère de Léonard de Vinci d’avoir examiné avec minutie l’action du cœur et des artères sans être jamais venu à formuler une théorie de la circulation du sang. Ce manuscrit est écrit avec une plume épointée sur un papier gris-bleu à gros grain, et les dessins qui l’illustrent ont un laisser-aller voulu, comme si Léonard eût renié la beauté de ses premiers dessins. Ce sera le style de presque tous ses derniers dessins. Cela n’est pas le fait d’une décadence physique, puisque Léonard nous donne des exemples d’écriture soignée à des dates ultérieures, mais exprimerait plutôt le pessimisme et le désenchantement de la vieillesse, qui dédaigne toute beauté purement matérielle, fût-elle la dextérité d’un trait ou le tour gracieux d’un vers.
Kenneth Clark, Léonard de Vinci, 1939
La citation est intrigante puisqu’on parle de “premiers dessins” puis il est question de son grand âge…Ne vous seriez-vous point emmêlé les pinceaux, jeune Donatello ?
Et en plus une phrase est reprise deux fois.
A mon avis il y une testicule dans le potage.
En toute amitié, Votre dévoué relecteur.
Et s’il s’agit effectivement de croquis faits à la fin de sa vie, on peut se demander malicieusement s’il ne tentait pas plutôt de dépeindre l’Animus plutôt que le coeur anatomique.
Enfin ce que j’en dis M’dame Germaine.…
Alors 1) je pense qu’il n’est pas bon de bloguer trop vite avant d’aller bosser
2) l’alcool au volant c’est dangereux
3) le changement c’est maintenant
4) je ne sais plus ce que je voulais dire 🙂
Ah si ayé, j’ai retrouvé !! Animus, c’est le titre d’une chanson de Jean-Claude Cabrel non ?
hu hu hu nounouille.