Tout est dans le sous-titre de cette œuvre colossale dont le titre est très précisément : Dictionnaire de la conversation et de la lecture. La société a besoin de savants et de gens de lettres et elle ne saurait évoluer dans le bon sens sans un solide corpus de lectures affriolantes. De l’aveu du directeur de la publication, voici une somme qui offre un bon complément à la lecture du Dictionnaire de l’Académie, si le cœur vous en dit pour l’un comme pour l’autre… En exergue, une citation de Montesquieu :
Celui qui voit tout abrège tout…
Pas moins de seize volumes de plus de 800 pages vous attendent sur Gallica, prêts à alimenter vos conversations le soir entre amis, autour d’un verre et de saucisses cocktail trempées dans la moutarde.
Extrait de l’introduction que j’aime particulièrement :
Il est bon de procurer aux convalescents des distractions morales au moyen de la conversation, de la lecture et de la musique, en évitant de causer de la fatigue.
On en frémit d’avance.
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