Je ne suis pas beau­coup là parce que je suis ailleurs. Je me suis don­né des pro­jets, la pos­si­bi­li­té de suivre mes envies en lais­sant un peu de côté le reste. Je me suis ren­du compte éga­le­ment qu’une chose avait chan­gé dans ma vie ; mon rythme de som­meil. Je me lève plus tôt, je pars plus tôt, mon temps de tra­jet est plus court, je com­mence à tra­vailler entre 1h30 et 2h00 plus tôt qu’a­vant et par voie de consé­quence, je ter­mine aus­si plus tôt. J’ai l’im­pres­sion que mon intel­lect est sol­li­ci­té d’une manière dif­fé­rente et qu’il va me fal­loir tout de même un temps d’a­dap­ta­tion pour y arri­ver. Pour l’ins­tant, je suis sim­ple­ment bal­lo­té entre des jour­nées de tra­vail pre­nantes et une fatigue déconcertante.
Pro­mis, ce week-end, je me repose et je reviens.
Je viens tout de même de retrou­ver l’au­teur de cette cita­tion, c’est Samuel John­son.

L’en­fer est pavé de bonnes intentions.

Et Goya :

Le som­meil de la rai­son engendre des monstres.

Je vais faire un peu de surf et je reviens.