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Lorsque Samuel Tay­lor Cole­ridge écri­vit Kubla Khan, il était cer­tai­ne­ment sous l’emprise de l’o­pium qu’il pre­nait pour com­battre la dou­leur liée à la dys­en­te­rie, c’est peut-être cela qui en fait un des plus grands poèmes romantiques…

In Xana­du did Kubla Khan
A sta­te­ly plea­sure-dome decree :
Where Alph, the sacred river, ran
Through caverns mea­su­re­less to man
Down to a sun­less sea.
So twice five miles of fer­tile ground
With walls and towers were gird­led round :
And there were gar­dens bright with sinuous rills,
Where blos­so­med many an incense-bea­ring tree ;
And here were forests ancient as the hills,
Enfol­ding sun­ny spots of greenery.


Rudyard Kipling a dit des vers qui suivent : « De tous les mil­lions de vers pos­sibles, il n’y en a pas plus de cinq — cinq petites lignes — dont on puisse dire : « Ceux-là sont de la magie. Ceux-là sont de la vision. Le reste n’est que de la poé­sie ». Les deux autres vers aux­quels il se réfé­rait appar­tiennent à Keats (Ode to a Nigh­tin­gale). »

A savage place! as holy and enchanted
As e’er beneath a waning moon was haunted
By woman wai­ling for her demon-lover!

Lieu sau­vage ! Lieu sacré et d’envoûtement
Comme jamais sous la lune en déclin ne fut hanté
Par femme lamen­tant pour son amant diabolique !

Source Wiki­pe­dia.

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