Si je suis lĂ , c’est uni­que­ment parce que j’aime avant tout pen­ser Ă  ce que l’image du monde est prĂȘte Ă  me don­ner. Je ne fais plus par­tie du clan des pes­si­mistes et Ă  pré­sent, je me plais Ă  regar­der l’ho­ri­zon, sur l’o­cĂ©an, lĂ  oĂč les brumes paraissent se dis­si­per dans la lumiĂšre blanche du soleil. Le navire repré­sen­tĂ© ici est un navire abso­lu­ment mythique, le [[Flying Cloud]], un clip­per datant de 1851, construit sur la cĂŽte est des Etats-Unis, Ă  Bos­ton. Avec sa voi­lure abso­lu­ment gigan­tesque, il sym­bo­lise pour moi la maß­trise des ocĂ©ans, le volon­tĂ© haras­sante de se sur­pas­ser sur les mers indomp­tables, mais Ă©ga­le­ment la vitesse et la puis­sance, la grĂące et pour le moins, l’élĂ©gance.

flying_cloud

C’est ici que dĂ©sor­mais je par­le­rai avec une cer­taine liber­tĂ© de tous ces sujets qui me pas­sionnent ; l’his­toire, le patri­moine mari­time, l’ar­chi­tec­ture, l’eth­no­lo­gie, la pho­to­gra­phie, mais Ă©ga­le­ment la lit­té­ra­ture, le voyage et l’art. C’est ici aus­si que je gar­de­rai ce fil direc­teur qui fera du Per­ro­quet Sué­dois ce qu’il est ; l’hu­mi­li­tĂ© face Ă  la beau­tĂ© du monde.

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