Jean-Fran­cois de Troy
La décla­ra­tion d’a­mour (1724)

Tan­dis que Johann Sebas­tian Bach écri­vait et com­po­sait ses célèbres can­tates pen­dant cinq années com­plètes de litur­gie, il com­po­sa éga­le­ment des can­tates “pro­fanes”, qui n’a­vaient de pro­fanes que le nom. For­te­ment ins­pi­rée par le luthé­ra­nisme, elles sont remar­quables par leur extrême varié­té et leur finesse (comme enten­du notam­ment dans la can­tate dite « de la chasse »). Voi­ci deux autres extraits de can­tates profanes.

[audio:BWV202.xol]

BWV202Wei­chet nur, betrübte Schat­ten (can­tate dite « Du mariage », ca. 1718–1723) . Pièce écrite pour haut­bois, deux vio­lons, alto, basse conti­nue et une sopra­no soliste.
1er mou­ve­ment (aria). Wei­chet nur, betrubte Schat­ten.
Gie­bel, Concer­to Amster­dam, Jaap Schröder

[audio:BWV204.xol]

BWV204Ich bin in mir ver­gnügt (ca. 1726–1727). La pièce est orches­trée pour flûte tra­ver­sière, deux haut­bois, deux vio­lons, alto et basse conti­nue et une sopra­no soliste. Texte de Chris­tian Frie­drich Hunold.
6ème mou­ve­ment (aria). Meine Seele sei ver­gnugt.
The Amster­dam Baroque Orches­tra and Choir, Ton Koopman

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