Söy­len­mek #3

Impos­sible de dire quand ça s’ar­rête, ni quand ça reprend, ni quand ça ralen­tit ou que ça se ter­mine, ni quand ça feint de repar­tir et que ça s’arrête.
L’en­vie de voyage est comme cer­taines périodes de la vie, l’air de rien ; il est alors impos­sible de se poser pour réflé­chir ou pour quoi que ce soit d’autre.

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