La rose et la tulipe, carnet de voyage à Istanbul 20 : Visages de Stambouliotes
Épisode précédent : La rose et la tulipe, carnet de voyage à Istanbul 19 : Visages des rues autrement qu’à pied…
Toutes mes photos, jusqu’à présent, pouvait paraître quelque peu déshumanisées. J’aime la pureté des ensembles, j’aime quand une personne se trouve dans le champ qu’elle participe de l’enchantement du lieu, qu’elle s’y fonde, pas qu’elle soit en plus. J’aime aussi lorsque les gens occupent l’intégralité de l’image, qu’ils en soient le sujet principal.
Pendant toute cette semaine à Istanbul, j’ai l’impression d’avoir croisé des visages plein de sincérité, d’un accès facile, des traits souvent marqués par une existence beaucoup moins confortable que la nôtre, mais aux bonheurs simples, sans démesure.