Ambiance fin de siècle
J’étais tranquillement assis au bord de la piscine occupé à siroter un coque telle à base de vieux rhum et à lire un très bon livre qui m’emmenait à lisière du désert de Taklamakan lorsque le facteur a sonné. Firmin est allé ouvrir et m’a rapporté quatre gros sacs, pleins de lettres qu’il m’aura fallu toute la nuit pour décacheter (oui, car on n’ouvre pas une lettre, on la décachète, tout se perd). J’étais en face d’un tas énorme de lettres s’indignant du fait que je n’ai pas blogué depuis quatre jours. Aussi devant la pression infernale que vous m’infligez, je me vois obligé de rédiger une petite note pour satisfaire votre inépuisable curiosité.
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